Bienvenue : vous avez la parole !

Bonjour

Donc on a un phénomène qui émerge à grande vitesse (l'édition numérique) et qui va engloutir un monde ancien soulevant de nombreuses critiques (l'édition papier).

Dans ce fil de discussion, on pose nos attentes basiques. Les miennes sont innombrables, en voici quelques-unes :
• en tant que lecteur, je veux savoir comment m'équiper, tout bêtement.
• en tant qu'auteur, je ne veux plus publier dans le papier (ou marginalement sur commande commerciale), mais je ne sais pas publier dans le numérique et j'aimerais des infos sur les pratiques, les formats, la diffusion, etc.
• en tant qu'ancien de l'aventure m@nuscrits chez Leo Scheer, j'ai trouvé que c'était une superbe idée et un immense gâchis, j'ai envie de reprendre le flambeau avec d'autres (que les wannabes arrêtent de pleurer sur le monde hostile de l'édition, que l'on parle texte et écriture,etc.)
• en tant que curieux, j'aimerais débattre de plein de sujets : le numérique va-t-il produire une édition poubelle ; comment faire évoluer le droit d'auteur / la propriété intellectuelle ; comment s'y retrouver dans le futur choix pléthorique des livres numériques ; peut-on éviter le même phénomène qu'avec l'industrie musicale (obsession du contrôle), etc.

Donc vous, quels sont les thèmes que vous aimeriez développer dans ce forum ?

ça serait de savoir ce que va devenir l'édition d'art, avec un Kindle ...

Comment faire passer au lecteur-voyeur la jouissance des couleurs d'une pinacothèque en se passant du grand format ?

Une œuvre architecturale photographiée, comment va-elle passer l'œil si elle ne se déploie pas sur une étendue minimale, sans doute supérieure à celle qu'offre l'électronique portable.

Pareil pour la photo des villes, des statues, des champs de course, des grands voiliers, etc.

Les grands-écrans de la télévision actuelle existent bien, mais ce ne sont pas des livres.

Ne devra-t-on se cantonner qu'au texte, qu'à la littérature, dans l'édition électronique ?

(Questions, et pas parti-pris, bien sûr)

Mais petite remarque, en passant, de ce que je constate, le livre d'art se vend en général si cher que non seulement aucune faute d'écriture n'y est permise, mais que du point de vue purement littéraire, les textes accompagnant les images y sont en général d'une qualité exceptionnelle.

.

.

Je sais qu'un e-reader grand format et couleurs est prévu... Bientôt, on aura un vrai choix de formats, couleurs ou nb, souple ou rigide. Rien ne sera exactement comme un livre, mais...

mon iPhone m'a tuer a écrit:Bonjour

Bonjour,

mon iPhone m'a tuer a écrit:Donc on a un phénomène qui émerge à grande vitesse (l'édition numérique) et qui va engloutir un monde ancien soulevant de nombreuses critiques (l'édition papier).

Je ne crois pas à l'engloutissement, le monde numérique est beaucoup trop fragile pour cela. Et depuis le temps que le numériques est là, l'engloutissement serait déjà là.

mon iPhone m'a tuer a écrit:Dans ce fil de discussion, on pose nos attentes basiques. Les miennes sont innombrables, en voici quelques-unes :

Ce ne sont plus vraiment des question, mais des postulats ;-)))

mon iPhone m'a tuer a écrit:• en tant que lecteur, je veux savoir comment m'équiper, tout bêtement.

S'équiper, c'est justement là qu'est le problème, il faut s'équiper, et pourquoi comment, dans quel but ???

mon iPhone m'a tuer a écrit:• en tant qu'auteur, je ne veux plus publier dans le papier (ou marginalement sur commande commerciale), mais je ne sais pas publier dans le numérique et j'aimerais des infos sur les pratiques, les formats, la diffusion, etc.

ça sent un peu trop l'auteur frustré, qui voudrait toucher les milliards de websurfeur !!!

mon iPhone m'a tuer a écrit:• en tant qu'ancien de l'aventure m@nuscrits chez Leo Scheer, j'ai trouvé que c'était une superbe idée et un immense gâchis, j'ai envie de reprendre le flambeau avec d'autres (que les wannabes arrêtent de pleurer sur le monde hostile de l'édition, que l'on parle texte et écriture,etc.)

On imagine que les textes existent quoiqu'il arrive, publier sur le net c'est facile, pourquoi vouloir reproduire un schéma papier en schéma numérique ?

mon iPhone m'a tuer a écrit:• en tant que curieux, j'aimerais débattre de plein de sujets : le numérique va-t-il produire une édition poubelle ; comment faire évoluer le droit d'auteur / la propriété intellectuelle ; comment s'y retrouver dans le futur choix pléthorique des livres numériques ; peut-on éviter le même phénomène qu'avec l'industrie musicale (obsession du contrôle), etc.

On ne peut pas se référer au schéma musical, pour trois raisons majeures : il y a moins de fric dans le monde du livre, les éditeurs sont globalement beaucoup moins cons que les majors, et le papier est une valeur positive (ce qui n'est pas le cas des galettes CD).
Le côté droits d'auteur, c'est un autre problème, beaucoup plus général que les vagues questions numériques.

mon iPhone m'a tuer a écrit:Donc vous, quels sont les thèmes que vous aimeriez développer dans ce forum ?

Personnellement je prône l'idée du bulle de communication-création-œuvre etc,
Tout le work-in-progress passe sur le woueb, lisible sur des e-book en tout genre ou des trucs de la pomme,
Pour aboutir à du finalisé abouti sur papier, mais pas du truc élitiste, du grand nombre.

Si le lecteur ne lit que de 1 à 3 livres par mois, on doit pouvoir fonctionner même si celui-ci vit dans un placard à balai de RP.

Depuis qq décennies les livres ne prennent pas plus de place dans les habitations (la consommation est stable), par contre, un équipement incroyable et volumineux est présent partout, l'encombrement supposé des livres est un faux problème.

A+

Nestor Burma a écrit:

mon iPhone m'a tuer a écrit:Donc on a un phénomène qui émerge à grande vitesse (l'édition numérique) et qui va engloutir un monde ancien soulevant de nombreuses critiques (l'édition papier).

Je ne crois pas à l'engloutissement, le monde numérique est beaucoup trop fragile pour cela. Et depuis le temps que le numériques est là, l'engloutissement serait déjà là.

Bonjour
Disons OK, c'est une croyance à ce stade, pas de souci. Quand je dis "engloutir", pour le livre je vois cela à échelle de 2 ou 3 générations. L'imprimerie n'a pas remplacé les copistes du jour au lendemain et même si tout va plus vite dans les temps modernes, le livre papier a encore plein d'avantages pour plein de gens.

mon iPhone m'a tuer a écrit:• en tant que lecteur, je veux savoir comment m'équiper, tout bêtement.

S'équiper, c'est justement là qu'est le problème, il faut s'équiper, et pourquoi comment, dans quel but ???

Je propose d'ouvrir un débat général (indépendant) sur cela. Le numérique me semble intéressant pour des tas de raisons (coût, ubiquité, accessibilité, etc.).

mon iPhone m'a tuer a écrit:• en tant qu'auteur, je ne veux plus publier dans le papier (ou marginalement sur commande commerciale), mais je ne sais pas publier dans le numérique et j'aimerais des infos sur les pratiques, les formats, la diffusion, etc.

ça sent un peu trop l'auteur frustré, qui voudrait toucher les milliards de websurfeur !!!

Non pas tellement. Par exemple, j'ai fait circuler voici quelques mois mon projet de roman en cours, une amie auteur et ex-lectrice de Grasset m'a dit qu'il y avait un excellent potentiel et qu'elle mettrait à ma disposition tout son carnet d'adresses chez les "gros" parisiens quand je l'estimerai "fini", je lui ai expliqué depuis que je n'essaierai même pas. Et à dire vrai, pour les essais où je suis bien plus à l'aise, je pourrais sans trop de difficulté téléphoner à cinq ou six contacts papier (pas des gros, certes) pour leur proposer des synopsis. Mais cela ne m'intéresse pas plus. Donc en soi, je ne suis ni un frustré du papier (j'y travaille depuis 20 ans) ni un frustré du succès (je déteste le star system, je ne cherche pas le nombre, j'ai fait une croix sur l'idée que le livre est rentable vu ce que j'ai envie d'écrire). Désolé pour cette parenthèse personnelle.

On imagine que les textes existent quoiqu'il arrive, publier sur le net c'est facile, pourquoi vouloir reproduire un schéma papier en schéma numérique ?

Pas compris, le but est de ne pas reproduire le schéma.

On ne peut pas se référer au schéma musical, pour trois raisons majeures : il y a moins de fric dans le monde du livre, les éditeurs sont globalement beaucoup moins cons que les majors, et le papier est une valeur positive (ce qui n'est pas le cas des galettes CD).
Le côté droits d'auteur, c'est un autre problème, beaucoup plus général que les vagues questions numériques.

Je suis d'accord sur les limites de la comparaison, chaque média ou chaque support a une configuration particulière. Le premier point est cependant faux (de mémoire) : le CA du livre est supérieur au CA de la musique, je crois que le marché du livre à lui seul fait la moitié de tout le marché des biens culturels. OK sur les éditeurs moins cons (mais quand ils vont défendre leur gâteau, ils seront aussi cons du point de vue qui est le mien, celui de la liberté numérique). OK sur le papier pour le moment (je n'exclus pas qu'à terme, dans une génération, l'image du papier soit à dominante négative, un truc sale, encombrant, cher, pesant, etc.)

Ok pour le désir d'être publier, de devenir riche et célèbre,
C'est un travers courant mais ce n'est pas le vôtre.

<<L'imprimerie n'a pas remplacé les copistes du jour au lendemain et même si tout va plus vite dans les temps modernes, le livre papier a encore plein d'avantages pour plein de gens. <<

Là encore, la comparaison ne fonctionne pas, un livre manuscrit reste un livre, la version numérique c'est la dématérialisation, un tout autre schéma.

<<Pas compris, le but est de ne pas reproduire le schéma.<<

Avec la notion d'auteur et de droit d'auteur, c'est ce que voulais dire par schéma.
Alors comme devenir auteur, tout le monde est auteur sur le net.

Pour le CA de ce j'ai pu lire ces dernières années sur les CA des activités culturelles (ou classées comme telles) (je peux me tromper, avoir des chiffres faux, être victime de désinformation, vouloir désinformer, etc),
No1 = jeux vidéo, No2 = Cinema, No3 = Musique éditée, No4 et bon dernier = monde du livre, sachant que No1 est plus grand que la somme des 2-3-4. Le monde du livre c'est 3 Milliards d'Euro, vu ce que prennent les gros éditeurs, il ne reste presque rien.

Mais ce n'est pas très grave, on ne fait pas ce genre métier pour faire du fric.

Je ne vois pas internet comme une calamité qui va détruire mes petites habitudes (c'est trop tard, mes livres ne me quitteront pas), mais comme un complément génial permettant de rentrer dans la cuisine voir comment les plats sont fait et discuter avec le chef, pas pour manger dans la cuisine, mais pour savoir ce que l'on mange.

Nestor Burma a écrit:

Pour le CA de ce j'ai pu lire ces dernières années sur les CA des activités culturelles (ou classées comme telles) (je peux me tromper, avoir des chiffres faux, être victime de désinformation, vouloir désinformer, etc),
No1 = jeux vidéo, No2 = Cinema, No3 = Musique éditée, No4 et bon dernier = monde du livre, sachant que No1 est plus grand que la somme des 2-3-4. Le monde du livre c'est 3 Milliards d'Euro, vu ce que prennent les gros éditeurs, il ne reste presque rien.
Mais ce n'est pas très grave, on ne fait pas ce genre métier pour faire du fric.
.

Ici par exemple, un compte-rendu de la dernière étude GfK 2009 sur le marché français :
http://www.zebulon.fr/actualites/3294-livre-reste-eleve-marche-francais-biens-culturels-2008.html

Livre : 4 milliards
Loisir interactif : 3 milliards
Vidéo : 1,3 milliards
Musique : 913 millions

Bien sûr, ce sont les biens eux-mêmes, en dehors des droits dérivés, etc.

C'est important pour plusieurs raisons, notamment la bataille actuelle sur les droits de propriété (droit d'auteur) et les futurs formats de lecture numérique. On a vu comment la musique a pesé sur Hadopi. Le livre, avec son jackpot de 4 milliards, il ne faut pas espérer qu'ils n'essaient pas de peser de leur poids sur le futur standard. Car certains font ce métier pour le fric... aussi !

mon iPhone m'a tuer a écrit:
Ici par exemple, un compte-rendu de la dernière étude GfK 2009 sur le marché français :
http://www.zebulon.fr/actualites/3294-livre-reste-eleve-marche-francais-biens-culturels-2008.html

Livre : 4 milliards
Loisir interactif : 3 milliards
Vidéo : 1,3 milliards
Musique : 913 millions

C'est important pour plusieurs raisons, notamment la bataille actuelle sur les droits de propriété (droit d'auteur) et les futurs formats de lecture numérique. On a vu comment la musique a pesé sur Hadopi. Le livre, avec son jackpot de 4 milliards, il ne faut pas espérer qu'ils n'essaient pas de peser de leur poids sur le futur standard. Car certains font ce métier pour le fric... aussi !

Ok merci, j'avais sans doute des vieux chiffres en tête,
Tu me redonnes un moral d'acier,
Le livre intéresse encore !!!
Et ma maison d'Edition est toute petite !!!
A+

Nestor Burma a écrit:
Ok merci, j'avais sans doute des vieux chiffres en tête,
Tu me redonnes un moral d'acier,
Le livre intéresse encore !!!
Et ma maison d'Edition est toute petite !!!
A+

Ah mais voilà, un social-traître, que dis-je un support-traître

Aurais-je une petite maison d'édition (papier je suppose, donc), je verrais l'Internet avec intérêt. Vu que les petits sont écrasés par les gros au niveau office, promo média, marketing, etc., exploiter à fond le net pour faire connaître ses auteurs et ses contenus, n'est-ce-pas une solution? Et pour le sujet qui nous occupe, développes-tu des versions bimédia (papier et électronique) ?

mon iPhone m'a tuer a écrit:

Nestor Burma a écrit:
Ok merci, j'avais sans doute des vieux chiffres en tête,
Tu me redonnes un moral d'acier,
Le livre intéresse encore !!!
Et ma maison d'Edition est toute petite !!!
A+

Ah mais voilà, un social-traître, que dis-je un support-traître

Aurais-je une petite maison d'édition (papier je suppose, donc), je verrais l'Internet avec intérêt. Vu que les petits sont écrasés par les gros au niveau office, promo média, marketing, etc., exploiter à fond le net pour faire connaître ses auteurs et ses contenus, n'est-ce-pas une solution? Et pour le sujet qui nous occupe, développes-tu des versions bimédia (papier et électronique) ?

Bonjour,
Je ne suis pas un social traître,
Mais la solidarité de caste ne m'intéresse pas.
Les petits éditeurs ne sont pas écrasés,
Ils sont petits et aujourd'hui il est interdit d'être petit, cela n'a rien à voir avec l'édition,
Il s'agit d'un phénomène général.

J'ai deux sites internet avec un très bonne fréquentation (vu ma taille d'entreprise), mais zéro business, internet c'est le monde de la gratuité (je n'ai rien contre la gratuité, bien au contraire).

Tous nos livres existent en version numérique,
Il serait simple de les commercialiser comme tel,
Mais il n'y pas de clients,
Je préfère en rester au papier.

Nestor Burma a écrit:
Je ne suis pas un social traître (...)

Euh je rigolais, hein ?

Merci des précisions.

mon iPhone m'a tuer a écrit:
Euh je rigolais, hein ?

Pas de problème,
Je comprends que l'on souhaite rigoler.

Le plus du numérique, de mon point de vue, n'a rien à voir avec le livre "numérique". Techniquement nos livres (de ma petite maison d'édition) sont numériques depuis 1990, donc depuis très longtemps.
Ce qui est intéressant en numérique partagé, grâce aux readers et aux réseaux, c'est le mode "participatif" et le mode "construire aux yeux de tous". Mais ensuite, il faut finaliser, il faut imprimer, il faut passer au papier, de mon point de vue bien sûr, et c'est ce que je tente de faire.
Même si j'ai conscience que ma vie est éphémère, je n'ai aucune envie que mon travail soit aussi volatil qu'une conversation téléphonique.

Quoi, Nestor est éditeur !!?

Bougez pas, je fais un saut chez Wrath chercher le goudron et les plumes.

le koala a écrit:Quoi, Nestor est éditeur !!?
Bougez pas, je fais un saut chez Wrath chercher le goudron et les plumes.

Tu sais le métier d'éditeur est un beau métier,
Parfois compliqué,
Mais beau ....

Ahhhhhhhhhhhhhhhhgrrrrrrrrrrrrrrrrr

Les auteurs ....
Pas faciles,
Si on pouvait s'en passer ;-)))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))

Je rigole bien sûr !!!

Bah, pas de complexe à avoir ! Après tout nous sortons d'un milieu ou d'un contexte où les auteurs se demandent symétriquement comment se passer des éditeurs.

Non, le vrai problème pour nous comme pour vous, ce serait plutôt:

Comment se passer des LECTEURS ?
C'est d'ailleurs vers cette direction chatoyante et lourde de promesses que je vais orienter mon esprit dans l'espoir d'atteindre au nirvana suprême, à la félicité ainsi qu'à la paix de l'âme (en toute zénitude astrale).

.

Ça y est ! Nestor Burma a gagné le droit de se faire baiser les pieds en se faisant passer avec ferveur la langue entre les orteils !

Bravo Nestor !

.

Je ne sais pas où poser cette question, désolé si je ne suis pas au bon endroit : existe-il déjà une préfiguration de Bookz quelque part ?

becdanlo a écrit:Je ne sais pas où poser cette question, désolé si je ne suis pas au bon endroit : existe-il déjà une préfiguration de Bookz quelque part ?

Pas encore, mais nos génies y travaillent !

nic a écrit:
Pas encore, mais nos génies y travaillent !

Merci nic, soyons patient donc

Pour être précis, l'alpha est dans les tuyaux a priori pour avant l'été - et ces questions sont évoquées dans groupes de travail/ groupe temps.

Eh oui, mais Becdanlo n'a pas accès aux groupes de travail !!! Rappelle-toi qu'ils sont pour l'instant réservés aux membres "actifs". Mais s'il a envie de participer activement, comme d'autres, il est invité !

@nic et nathrrr : il n'y a pas de soucis... pour l'instant je ne peux pas m'investir d'avantage que je ne le fais... mais si vous avez besoin d'un béta testeur... je suis votre homme... je n'ai pas la pareille pour planter un logiciel - rire

Bon travail aux membres actifs

bec'

PS: par contre si vous avez des questions sur une structure qui a les pieds dans le papier et le virtuel je peux vous répondre... sachant que je ne cherche pas à faire la promo de brumerge (qui a maintenant une taille optimum) mais plutôt à susciter l'émergence de structures semblables

Ok bec ! (rires)