google édition
5 participants
Pour une communauté auteurs-lecteurs :: Discussions générales :: Expériences passées / présentes : bilan critique
Page 1 sur 1
google édition
google edition passe un contrat avec l'Italie:
http://www.lemonde.fr/technologies/article/2010/03/11/google-signe-un-accord-avec-l-italie-pour-numeriser-un-million-d-ouvrages_1317649_651865.html#ens_id=1282770
http://www.lemonde.fr/technologies/article/2010/03/11/google-signe-un-accord-avec-l-italie-pour-numeriser-un-million-d-ouvrages_1317649_651865.html#ens_id=1282770
Dernière édition par Michel M le Mer 5 Mai - 12:21, édité 1 fois (Raison : j'm'a trompé)
Michel M- Messages : 366
Date d'inscription : 07/03/2010
Re: google édition
Détail : c'est Google Livres qui est concerné, Google Editions sera une autre structure qui arrive chez nous en juillet.
La différence est que Google Livres est gratuit (livres complets pour le domaine public, comme Gallica, extraits pour les livres sous droit) alors que Google Editions sera un service payant comme Apple ou Amazon.
Contrairement aux deux autres poids lourds, Google Editions joue la carte du multi-support non propriétaire (pas de DRM, pas de fichier formatés pour une liseuse en particulier).
Comme Google a annoncé par ailleurs sa propre tablette / liseuse pour le second semestre, cela va booster un peu plus le livre numérique. Aux dernières nouvelles, l'iBookstore d'Apple / iPad a écoulé 1,5 millions de livres numériques en un mois sur le seul marché américain. Cela fait évidemment réfléchir ceux qui doutent d'un décollage rapide... surtout qu'Amazon-Kindle, Nook-B&N etc. continuent de vendre de leur côté.
On a du pot, les dinosaures français prennent bcp de retard car ils ne se mettent pas d'accord sur leur (stupide) plateforme commune de diffusion (ils veulent imposer une étape de plus entre l'auteur et le lecteur, étape qu'ils contrôlent bien sûr). Résultat : marché de 0,3% en France contre déjà 5% en GB ou aux USA. Mais quand cela va se débloquer, la demande de contenu numérique va rapidement augmenter.
Et on sera là
La différence est que Google Livres est gratuit (livres complets pour le domaine public, comme Gallica, extraits pour les livres sous droit) alors que Google Editions sera un service payant comme Apple ou Amazon.
Contrairement aux deux autres poids lourds, Google Editions joue la carte du multi-support non propriétaire (pas de DRM, pas de fichier formatés pour une liseuse en particulier).
Comme Google a annoncé par ailleurs sa propre tablette / liseuse pour le second semestre, cela va booster un peu plus le livre numérique. Aux dernières nouvelles, l'iBookstore d'Apple / iPad a écoulé 1,5 millions de livres numériques en un mois sur le seul marché américain. Cela fait évidemment réfléchir ceux qui doutent d'un décollage rapide... surtout qu'Amazon-Kindle, Nook-B&N etc. continuent de vendre de leur côté.
On a du pot, les dinosaures français prennent bcp de retard car ils ne se mettent pas d'accord sur leur (stupide) plateforme commune de diffusion (ils veulent imposer une étape de plus entre l'auteur et le lecteur, étape qu'ils contrôlent bien sûr). Résultat : marché de 0,3% en France contre déjà 5% en GB ou aux USA. Mais quand cela va se débloquer, la demande de contenu numérique va rapidement augmenter.
Et on sera là
mon iPhone m'a tuer- Messages : 1422
Date d'inscription : 26/02/2010
Re: google édition
.
Oui, ça serait pas mal, non seulement qu'on soit là, mais qu'on fonctionne bien, parce que c'est une vraie catastrophe, le livre français, avec l'informatique actuelle, côté papier, alors côté électronique totale, n'en parlons pas, ça fait vraiment pitié sur tous les plans. Vraiment. Les prix sont littéralement mafieux. La qualité n'a jamais été aussi mauvaise (au Canada, pays officiellement bilingue anglais-français, chez Kobo, filiale de Chapter-Indigo, un consortium géant de distribution du livre papier en grande surface, les textes du peu de livres électroniques offerts en français sur Internet en e-pub, ne comprennent même pas les accents !).
.
Oui, ça serait pas mal, non seulement qu'on soit là, mais qu'on fonctionne bien, parce que c'est une vraie catastrophe, le livre français, avec l'informatique actuelle, côté papier, alors côté électronique totale, n'en parlons pas, ça fait vraiment pitié sur tous les plans. Vraiment. Les prix sont littéralement mafieux. La qualité n'a jamais été aussi mauvaise (au Canada, pays officiellement bilingue anglais-français, chez Kobo, filiale de Chapter-Indigo, un consortium géant de distribution du livre papier en grande surface, les textes du peu de livres électroniques offerts en français sur Internet en e-pub, ne comprennent même pas les accents !).
.
Victor.Digiorgi- Messages : 409
Date d'inscription : 10/03/2010
Re: google édition
mon iPhone m'a tuer a écrit:
Comme Google a annoncé par ailleurs sa propre tablette / liseuse pour le second semestre, cela va booster un peu plus le numérique. Aux dernières nouvelles, l'iBookstore d'Apple / iPad a écoulé 1,5 millions de livres numériques en un mois sur le seul marché américain. Cela fait évidemment réfléchir ceux qui doutent d'un décollage rapide... surtout qu'Amazon-Kindle, Nook-B&N etc. continuent de vendre de leur côté.
Hallucinant. J'ai lu quelque part que les livres électroniques pour liseuses se vendaient déjà mieux que les livres papiers aux états-unis. Bon chacun sait que les ricains sont incultes (attention gros cliché ! ), mais tout de même, c'est effectivement très significatif.
mon iPhone m'a tuer a écrit:On a du pot, les dinosaures français prennent bcp de retard car ils ne se mettent pas d'accord sur leur (stupide) plateforme commune de diffusion (ils veulent imposer une étape de plus entre l'auteur et le lecteur, étape qu'ils contrôlent bien sûr). Résultat : marché de 0,3% en France contre déjà 5% en GB ou aux USA. Mais quand cela va se débloquer, la demande de contenu numérique va rapidement augmenter.
Et on sera là
Voui, on sera là, bon probablement pas très compétitif vis à vis de Google, ce fascinant prédateur aux allure de gorgone, cependant nous ne sommes pas là pour faire du commerce mais de la qualité. Il faudra donc pouvoir faire émerger de bons textes des stocks de nos contributeurs.
Je débarque dans ce nouveau champs culturel, c'est vraiment très intéressant . Je suis allé voir quelques liseuses, et c'est pas aussi belzebutien que j'avais tendance à me le représenter, je devrais pouvoir arriver à lire des choses sur ce support luciférien, qui après tout nous éclaire
Michel M- Messages : 366
Date d'inscription : 07/03/2010
Re: google édition
En effet, les chiffres de croissance sont là. J'ai lu hier que le premier trimestre 2010 a déjà vu la vente d'autant de livres électroniques que toute l'année 2009, laquelle avait déjà vu les ventes quadrupler par rapport à 2008, laquelle, etc. Bref, une croissance exponentielle après dix années de stagnation. L'existence de ce marché cristallise automatiquement la compétition des producteurs de contenus et des fabricants de liseuses, les premiers pour élargir l'offre, les seconds pour améliorer le dispositif. Car si le Kindle a montré que la lecture sur écran pouvait être agréable, ce n'est qu'un début vers la mise au point du dispositif optimal. Les tablettes comme l'iPad brouillent à mon avis la perspective : multifonction et pas optimisées lecture, elles sont surtout amenées à supplanter l'ordinateur portable dans l'achat moyen des ménages. Mais le livre électronique verra plutôt des supports dédiés, comme l'iPod le fut pour la musique.
A signaler sur ce thème, In Libro Veritas lance carrément sa liseuse (pas la meilleure du marché, hélas pour eux) :
http://www.numerama.com/magazine/15688-inlibroveritas-lance-son-propre-lecteur-de-livres-electroniques.html
DoncBookz Scryf doit en effet réfléchir à son positionnement dans cette explosion en cours. Il ne s'agit pas seulement de se dire "nous ferons mieux que l'édition papier en corrigeant ses défauts flagrants" (horizon qui était encore le mien l'an dernier, à l'époque où je fréquentais les blogs Scheer, Wrath, etc.), mais bien "nous devons nous penser comme acteur de l'édition électronique".
Par rapport aux "gros", notre avantage comparatif sera : nous apportons du contenu gratuit (c'est mieux que le payant), contemporain (c'est différent du domaine public) et qualifié (au sens de noté, évalué, commenté).
Mais pour que cet avantage se réalise, eh bien il faut en premier lieu qu'un grand nombre d'auteurs nous fassent confiance et viennent publier leur texte chez nous.
A signaler sur ce thème, In Libro Veritas lance carrément sa liseuse (pas la meilleure du marché, hélas pour eux) :
http://www.numerama.com/magazine/15688-inlibroveritas-lance-son-propre-lecteur-de-livres-electroniques.html
Donc
Par rapport aux "gros", notre avantage comparatif sera : nous apportons du contenu gratuit (c'est mieux que le payant), contemporain (c'est différent du domaine public) et qualifié (au sens de noté, évalué, commenté).
Mais pour que cet avantage se réalise, eh bien il faut en premier lieu qu'un grand nombre d'auteurs nous fassent confiance et viennent publier leur texte chez nous.
mon iPhone m'a tuer- Messages : 1422
Date d'inscription : 26/02/2010
Re: google édition
Eh oui...mon iPhone m'a tuer a écrit:
Mais pour que cet avantage se réalise, eh bien il faut en premier lieu qu'un grand nombre d'auteurs nous fassent confiance et viennent publier leur texte chez nous.
nic- Messages : 813
Date d'inscription : 07/03/2010
Re: google édition
Il existe à mon avis une niche à laquelle les Américains ne penseront pas de si tôt.mon m'a tuer a écrit:Mais pour que cet avantage se réalise, eh bien il faut en premier lieu qu'un grand nombre d'auteurs nous fassent confiance et viennent publier leur texte chez nous.
C'est celle du texte non anglais.
Tant que les éditeurs français seront ce qu'ils sont, la niche francophone sera énorme.
.
Victor.Digiorgi- Messages : 409
Date d'inscription : 10/03/2010
Re: google édition
Confiance des auteurs dès le départ?
_ qualité du buzz/ des spots de lancement (Michel power)
_ qualité des fonctionnalités de la plateforme. C'est bien parti, si nos magiques programmeurs parviennent à donner vie à tout ce qu'on a évoqué... Petite analogie: Scryf, tel qu'on le pense/rêve/élabore, toutes proportions gardées, me fait penser à World of Warcraft: interface conviviale, simplicité d'utilisation, profondeur de jeu, jeu solo possible mais en collectif recommandé, niveaux et monnaie, culture de l'entraide... Ce n'est pas le cas de nos confrères, pour l'instant. Et pour mémoire, World of Warcraft, c'est 11 millions d'abonnés. CQFD.
_ qualité des premiers textes (alors là... gros et délicat boulot dès la béta: rameuter des auteurs qu'"on" sent bien. C'est à mon avis le point capital: "Les Nouveaux auteurs", "We love words", toussa, c'est bien sur ce critère qu'on les juge quand on va y faire un rapide tour _ et c'est bien sur ce jugement qu'un auteur peut se dire: "ben non, c'est pas sur cette plateforme que je déposerai mon oeuvre" ou "eh?! pourquoi pas?"). De la mauvaise qualité (je rebondis aussi sur la discussion d'à côté), il y en aura plein sur Scryf, la majorité des textes ne seront pas bons, pas plaisants à lire etc., et ce tous styles/genres confondus, inutile de se raconter des histoires. Et ce n'est pas dramatique, on en a déjà parlé. En revanche, les premiers textes affichés sur la plateforme seront de facto notre vitrine (provisoire), qu'on le veuille ou non... Donc vraiment gros effort là-dessus.
_ qualité du buzz/ des spots de lancement (Michel power)
_ qualité des fonctionnalités de la plateforme. C'est bien parti, si nos magiques programmeurs parviennent à donner vie à tout ce qu'on a évoqué... Petite analogie: Scryf, tel qu'on le pense/rêve/élabore, toutes proportions gardées, me fait penser à World of Warcraft: interface conviviale, simplicité d'utilisation, profondeur de jeu, jeu solo possible mais en collectif recommandé, niveaux et monnaie, culture de l'entraide... Ce n'est pas le cas de nos confrères, pour l'instant. Et pour mémoire, World of Warcraft, c'est 11 millions d'abonnés. CQFD.
_ qualité des premiers textes (alors là... gros et délicat boulot dès la béta: rameuter des auteurs qu'"on" sent bien. C'est à mon avis le point capital: "Les Nouveaux auteurs", "We love words", toussa, c'est bien sur ce critère qu'on les juge quand on va y faire un rapide tour _ et c'est bien sur ce jugement qu'un auteur peut se dire: "ben non, c'est pas sur cette plateforme que je déposerai mon oeuvre" ou "eh?! pourquoi pas?"). De la mauvaise qualité (je rebondis aussi sur la discussion d'à côté), il y en aura plein sur Scryf, la majorité des textes ne seront pas bons, pas plaisants à lire etc., et ce tous styles/genres confondus, inutile de se raconter des histoires. Et ce n'est pas dramatique, on en a déjà parlé. En revanche, les premiers textes affichés sur la plateforme seront de facto notre vitrine (provisoire), qu'on le veuille ou non... Donc vraiment gros effort là-dessus.
Re: google édition
Marco a écrit:(...)
_ qualité des premiers textes (alors là... gros et délicat boulot dès la béta: rameuter des auteurs qu'"on" sent bien. C'est à mon avis le point capital (...) En revanche, les premiers textes affichés sur la plateforme seront de facto notre vitrine (provisoire), qu'on le veuille ou non... Donc vraiment gros effort là-dessus.
Faudrait travailler cela dans un post à part, quand on aura fini les spé et que, pendant que nos camarades programment, on avancera sur divers points – pas mal en fait : la structure juridique, le modèle économique, l'écriture des textes (obligatoires comme confidentialité et vie privée + charte, etc.), le graphisme dont logo, le buzz et sa finalisation message + cible + calendrier, le recrutement des auteurs sur l'alpha et la bêta (lié au buzz mais pas seulement)...
mon iPhone m'a tuer- Messages : 1422
Date d'inscription : 26/02/2010
Re: google édition
mon iPhone m'a tuer a écrit:Marco a écrit:(...)
_ qualité des premiers textes (alors là... gros et délicat boulot dès la béta: rameuter des auteurs qu'"on" sent bien. C'est à mon avis le point capital (...) En revanche, les premiers textes affichés sur la plateforme seront de facto notre vitrine (provisoire), qu'on le veuille ou non... Donc vraiment gros effort là-dessus.
Faudrait travailler cela dans un post à part, quand on aura fini les spé et que, pendant que nos camarades programment, on avancera sur divers points – pas mal en fait : la structure juridique, le modèle économique, l'écriture des textes (obligatoires comme confidentialité et vie privée + charte, etc.), le graphisme dont logo, le buzz et sa finalisation message + cible + calendrier, le recrutement des auteurs sur l'alpha et la bêta (lié au buzz mais pas seulement)...
Vi vi, belles occupations en perspective...
Mais pour ce que j'appelle "rameuter des auteurs qu'on sent bien", il ne s'agit pas de travail collectif de réflexion/rédaction/buzz. Il s'agit surtout d'initiatives individuelles (chacun de nous connait (ou pas) des auteurs intéressants, et a une idée de ce qui peut les intéresser sur Scryf (ou pas).
Re: google édition
Marco a écrit:(...)Il s'agit surtout d'initiatives individuelles (chacun de nous connait (ou pas) des auteurs intéressants, et a une idée de ce qui peut les intéresser sur Scryf (ou pas).
Ah oui. Moi je n'en connais pas tant que cela
mon iPhone m'a tuer- Messages : 1422
Date d'inscription : 26/02/2010
Re: google édition
Tout dépend ce qu'on entend par intéressant...mon iPhone m'a tuer a écrit:Marco a écrit:(...)Il s'agit surtout d'initiatives individuelles (chacun de nous connait (ou pas) des auteurs intéressants, et a une idée de ce qui peut les intéresser sur Scryf (ou pas).
Ah oui. Moi je n'en connais pas tant que cela
nic- Messages : 813
Date d'inscription : 07/03/2010
Re: google édition
Iph.: ben déjà chacun en "ramènerait" deux, ça en ferait une vingtaine (une vingtaine de textes qui tiennent la route, ça serait bien pour un tout début).
nic: pas de problème en fait, puisque pas de ligne éditoriale. Evidemment, on se fait confiance. Pas de concertation là-dessus. Et c'est tant mieux: comme nous ne nous intéressons pas forcément aux mêmes styles/types de textes, ça fait d'emblée un minimum de variété. Simplement: faire "venir" des auteurs qu'on sent bien, c'est déjà éviter le risque de 20 premiers textes complètement débiles. (et franchement, pas besoin d'être tous sur la même longueur d'onde pour tomber d'accord là-dessus).
nic: pas de problème en fait, puisque pas de ligne éditoriale. Evidemment, on se fait confiance. Pas de concertation là-dessus. Et c'est tant mieux: comme nous ne nous intéressons pas forcément aux mêmes styles/types de textes, ça fait d'emblée un minimum de variété. Simplement: faire "venir" des auteurs qu'on sent bien, c'est déjà éviter le risque de 20 premiers textes complètement débiles. (et franchement, pas besoin d'être tous sur la même longueur d'onde pour tomber d'accord là-dessus).
Re: google édition
Marco a écrit:Iph.: ben déjà chacun en "ramènerait" deux, ça en ferait une vingtaine (une vingtaine de textes qui tiennent la route, ça serait bien pour un tout début).
(...)
Deux auteurs qui ont un texte dispo (condition 1), d'assez bonne qualité (condition 2) et sont prêts à le publier sur Scryf plutôt qu'en circuit traditionnel papier (condition 3)... gloups. Enfin bon, je vais réfléchir.
Dernière édition par mon iPhone m'a tuer le Dim 9 Mai - 19:46, édité 1 fois
mon iPhone m'a tuer- Messages : 1422
Date d'inscription : 26/02/2010
Re: google édition
Je disais "tout dépend" parce que je ne connais pas grand monde non plus, peut-être en effet un ou deux dont je peux dire de leurs textes "ce n'est pas rien" bien que pensant aussi "ce n'est pas grand chose"...Marco a écrit:Iph.: ben déjà chacun en "ramènerait" deux, ça en ferait une vingtaine (une vingtaine de textes qui tiennent la route, ça serait bien pour un tout début).
nic: pas de problème en fait, puisque pas de ligne éditoriale. Evidemment, on se fait confiance. Pas de concertation là-dessus. Et c'est tant mieux: comme nous ne nous intéressons pas forcément aux mêmes styles/types de textes, ça fait d'emblée un minimum de variété. Simplement: faire "venir" des auteurs qu'on sent bien, c'est déjà éviter le risque de 20 premiers textes complètement débiles. (et franchement, pas besoin d'être tous sur la même longueur d'onde pour tomber d'accord là-dessus).
nic- Messages : 813
Date d'inscription : 07/03/2010
Re: google édition
nic: arf! quelle exigence! je te reconnais bien là.
iph.: en fait, c'est beaucoup plus simple que ce qu'on peut craindre (mais ça peut prendre du temps). Très simplement, par delà les connaissances: prospecter partout où il peut y avoir des textes (In Libro Veritas, etc.), repérer un ou deux textes intéressants (avec toutes les réserves niciques), prendre contact avec l'auteur, lui montrer que ça peut valoir le coup pour lui d'être dans les premiers textes de Scryf. (il peut bien être sur plusieurs plateformes). Des textes pas mauvais du tout qui ne trouvent pas d'éditeur (voire qui renoncent à la recherche avant même de l'avoir commencée), il y en a de plus en plus. Bon, y en a pas des tonnes non plus, bien sûr. Faut juste en trouver quelques uns. Les autres viendront ensuite.
iph.: en fait, c'est beaucoup plus simple que ce qu'on peut craindre (mais ça peut prendre du temps). Très simplement, par delà les connaissances: prospecter partout où il peut y avoir des textes (In Libro Veritas, etc.), repérer un ou deux textes intéressants (avec toutes les réserves niciques), prendre contact avec l'auteur, lui montrer que ça peut valoir le coup pour lui d'être dans les premiers textes de Scryf. (il peut bien être sur plusieurs plateformes). Des textes pas mauvais du tout qui ne trouvent pas d'éditeur (voire qui renoncent à la recherche avant même de l'avoir commencée), il y en a de plus en plus. Bon, y en a pas des tonnes non plus, bien sûr. Faut juste en trouver quelques uns. Les autres viendront ensuite.
Re: google édition
je ne côtoie pas non plus beaucoup d'auteur-écrivains, une idée serait de faire participer des auteurs, ou des écrivains, les inviter à déposer un texte ou à participer à des évènements sociaux-numériques comme les chats, ou des ateliers d'écriture, pourquoi pas ? enfin une façon de faire vivre la plateforme ...
Dernière édition par Michel M le Lun 10 Mai - 9:44, édité 1 fois
Michel M- Messages : 366
Date d'inscription : 07/03/2010
Re: google édition
Marco a écrit:(...) iph.: en fait, c'est beaucoup plus simple que ce qu'on peut craindre (mais ça peut prendre du temps). Très simplement, par delà les connaissances: prospecter partout où il peut y avoir des textes (In Libro Veritas, etc.), repérer un ou deux textes intéressants (avec toutes les réserves niciques), prendre contact avec l'auteur, (...)
Ah OK, je pensais un peu à cela, mais ces même sites ne sont-ils pas ceux que l'on doit infiltrer pour faire notre buzz dans leur forum? Je crains qu'en ce cas, on attire le wannabe sans distinction. Donc tu aurais au tête une stratégie en deux phases :
- cooptation sur-mesure en alpha
- buzz artisanal élargi en bêta
(...et triomphe industriel en omega, bien sûr) ?
mon iPhone m'a tuer- Messages : 1422
Date d'inscription : 26/02/2010
Re: google édition
A vrai dire Iph., je n'ai pas trop réfléchi à différentes "approches" selon différents "moments". Ton "programme" est sans doute viable. Ne peut-on pas imaginer par ailleurs des approches différentes mais simultanées? Pour reprendre notre exemple: pour la bêta, buzz généraliste du côté d'In Libro Veritas + "invitation" personnalisée pour quelques textes qu'on aurait remarqués là-bas. A la fois nombre tout horizon (bouteille à la mer) ET ciblage de quelques uns (flattés).
Edit: pour l'alpha, vu que rien de définitif n'existera encore, je vois mal comment on pourrait convaincre des gens qu'on ne connait pas de venir y déposer leurs textes... Donc à mon avis, en alpha, par la force des choses ben ça sera des textes venant de nous et de quelques connaissances...
D'où mon idée d'une double approche (large et restreinte) en bêta.
Edit: pour l'alpha, vu que rien de définitif n'existera encore, je vois mal comment on pourrait convaincre des gens qu'on ne connait pas de venir y déposer leurs textes... Donc à mon avis, en alpha, par la force des choses ben ça sera des textes venant de nous et de quelques connaissances...
D'où mon idée d'une double approche (large et restreinte) en bêta.
Sujets similaires
» Google Editions en juillet
» Dans le peau de Jim Profit (Google Editions)
» Edition 999
» Auto-édition chez les gros (BAAGS)
» Plateforme de partage et édition : deux choses différentes ?
» Dans le peau de Jim Profit (Google Editions)
» Edition 999
» Auto-édition chez les gros (BAAGS)
» Plateforme de partage et édition : deux choses différentes ?
Pour une communauté auteurs-lecteurs :: Discussions générales :: Expériences passées / présentes : bilan critique
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|